Merci de ce regard
Offert par le hasard,
Ô toi que j’eusse aimé,
Ô toi qui le savais,
Comme dirait ce vers
Si beau de Baudelaire
Sur l’amour éphémère
En suspens dans les airs.
Il y a tant de futurs
S’il se pose sur Terre
Qu’ayant peur d’être impur
Entre deux eaux il erre,
Puis reste au purgatoire
Dans l’arrière mémoire,
Potentiel paradis
S’il revient à la vie.