Simplifier au maximum le vent, pour qu’il ne soit plus que dans les voiles et n’atteigne pas cette mer d’huile, qui procure le recueillement qu’on peut attendre d’un océan.
Réduire au minimum les couleurs pour goûter ce bleu des profondeurs, Nirvana de tous les méditants.
Laisser quelques petits reflets blancs pour ne pas oublier la lumière qui accompagne notre croisière, à sa manière, discrètement.
Et vous mener, avant l’arrivée, à plonger dans la sérénité.