Juste assis sur son petit tabouret,
Avec le strict minimum nécessaire,
Un crayon, une feuille ou un carnet,
De quoi transcrire les ondes premières
Des mondes internes et parallèles
Quand ils ont besoin d’un intermédiaire ;
Assis, en méditation éphémère
Constante il explore les citadelles
De l’espace-temps et du spirituel,
Y cherchant en promeneur solitaire
Les joyaux à ramener sur la Terre.
Trop grand et parfois aveugle au réel,
Il plane en maître sur la stratosphère,
Comme cet albatros de Baudelaire.