Tout petit déjà je marchais sur l’eau
Pour déconstruire la réalité
Et son apparente rigidité,
Chercher ce qu’elle cache sous sa peau.
Je trouvai dans ces images flottantes
Le seul vrai visage de la Nature,
Une matière vivante et vibrante
Ravie de venir jouer dans les peintures
Les trouble-fêtes ou les enfants sages.
Il suffit d’un petit souffle de vent,
Une inattention d’un infime instant,
Et voici changé votre paysage.
L’eau est un modèle à apprivoiser,
Qui plus tard saura vous récompenser.