Pour capturer la neige
Sur une toile blanche,
Coucher les blancs, les beiges
Sans que la main ne flanche,
Sans que l’œil ne se trompe,
Il faut être d’ici
Et en saisir l’esprit,
Sinon les tons s’estompent.
Rien n’est plus coloré
Que les blancs de l’hiver,
Un secret bien gardé.
Pour qui l’a découvert
C’est tout un infini
De nouveaux coloris.